Field of study choice by community college students in Canada
In: Economics of education review, Band 27, Heft 1, S. 79-93
ISSN: 0272-7757
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In: Economics of education review, Band 27, Heft 1, S. 79-93
ISSN: 0272-7757
In: Canadian journal of development studies: Revue canadienne d'études du développement, Band 28, Heft 2, S. 293-314
ISSN: 2158-9100
In: Canadian journal of development studies: Revue canadienne d'études du développement, Band 28, Heft 2, S. 293-314
ISSN: 0225-5189
In: Discussion paper series 2552
"This paper examines the determinants of the choice of field of study by university students using data from the Canadian National Graduate Survey. The sample of 18,708 graduates holding a Bachelor degree is interesting in itself knowing that these students completed their study and thus represent a pool of high quality individuals. What impact expected post-graduation lifetime earnings have in choosing their field of study respectively to their non pecuniary preferences? Are these individuals less or more influenced by monetary incentives on their decision than was found in previous literature with samples of university students not all completing their studies successfully? Unlike existing studies, we account for the probability that students will be able to find employment related to their field of study when evaluating lifetime earnings after graduation. The parameters that drive students' choices of fields of study are estimated using a mixed multinomial logit model applied to seven broadly defined fields. Results indicate that the weight put by a student on initial earnings and earnings' rate of growth earnings depends upon the education level of the parent of the same gender. Surprisingly, lifetime earnings have no statistically significant impact when the parent of the same gender as the student has a university education. Results show that men are, in general, more sensitive than women to initial income variations, whilst women are more sensitive than men to the earnings' rate of growth variations. Marital status, enrolment status and the vocation identified with each field of study are influential factors in students' choices. From a policy perspective, a substantial increase in lifetime earnings, while all other factors remain constant, would be necessary to draw students into fields of study they are not inclined to choose initially"--Forschungsinstitut zur Zukunft der Arbeit web site
In: Cahiers québécois de démographie, Band 47, Heft 1, S. 109-134
ISSN: 1705-1495
Dans ce texte, nous brossons un portrait de la surqualification professionnelle au Canada en traitant de sa fréquence et de ses répercussions sur la rémunération des travailleurs. La surqualification des travailleurs est une question largement étudiée dans la littérature, ce qui témoigne bien de l'importance du phénomène autant pour les décideurs des politiques publiques que pour les individus. Les données de l'Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011 indiquent que le pourcentage de travailleurs canadiens qui étaient surqualifiés dans leur emploi était de 26 % en 2011, soit presque le même taux enregistré en 2006. Ce taux varie significativement selon le niveau d'études (40 % chez les titulaires d'un baccalauréat, 18,3 % pour les diplômés d'études secondaires) et le domaine d'études (49 % en histoire, 27 % en bibliothéconomie). Au chapitre des revenus, les travailleurs surqualifiés gagnent moins que leurs collègues qui ont le même niveau de scolarité, mais qui occupent un poste qui correspond à cette scolarité. Toutefois, par rapport aux travailleurs qui possèdent le niveau d'études habituellement requis, les plus scolarisés (c'est-à-dire ceux qui sont surqualifiés) gagnent plus.
In: Cahiers québécois de démographie, Band 45, Heft 2, S. 121-144
ISSN: 1705-1495
Cette étude porte sur des jeunes de 15 à 29 ans que nous avons répartis en quatre groupes : les immigrants admis après l'âge de 10 ans (génération 1), ceux qui sont arrivés au pays à l'âge de 10 ans ou avant (génération 1.5), ceux qui sont nés au Canada d'au moins un parent immigrant (génération 2) et ceux qui sont nés au Canada de parents natifs de ce pays (génération 3 ou plus). Nos résultats montrent que les jeunes issus de l'immigration (générations 1, 1.5 et 2) sont en moyenne plus scolarisés que ceux de la génération 3 ou plus, tant au Québec que dans le reste du Canada. De plus, presque tous les jeunes des générations 1.5 et 2 au Québec connaissent le français, ce qui est synonyme d'une intégration linguistique des immigrants à long terme. Au chapitre de l'accès à l'emploi et des salaires, les jeunes de la génération 1 sont les plus défavorisés, et ils le sont davantage au Québec que dans le reste du Canada. Dans cette province, les jeunes des générations 1.5 et 2 affichent eux aussi des écarts sur le plan du taux de chômage et des salaires par rapport à ceux de la génération 3 ou plus, tandis que dans le reste du Canada, ces jeunes performent aussi bien — sinon mieux — que les jeunes de la génération 3 ou plus. Le Québec devra s'attacher à promouvoir l'emploi et les conditions de travail de tous ces jeunes, indépendamment de leur origine et de l'origine de leurs parents.
In: Canadian public policy: Analyse de politiques, Band 41, Heft Supplement 2, S. S53-S60
ISSN: 1911-9917
Dans cet article, nous analysons le lien d'association entre la qualité de l'emploi et la santé mentale des travailleurs nés au Canada ou à l'étranger. Il s'agit de vérifier si le fait d'occuper un emploi de qualité préserve la santé mentale des travailleurs, et celle immigrants en particulier. En effet, la littérature souligne que l'intégration des immigrants sur le marché du travail au Canada est difficile et que le chômage est l'un des principaux stresseurs de la santé mentale des nouveaux arrivants. Nos résultats – obtenus à partir des données de l'Enquête québécoise sur des conditions de travail, d'emploi et de santé et de sécurité du travail(EQCOTESST) – révèlent que le fait d'occuper un emploi de qualité réduit davantage la détresse psychologique chez les immigrants que chez les natifs. Cela suggère que la qualité de l'emploi aurait un effet protecteur plus fort sur la santé mentale des immigrants que sur celle des natifs. L'investissement dans l'intégration des immigrants serait de ce fait plus que rentable pour la société d'accueil.
In: Canadian public policy: a journal for the discussion of social and economic policy in Canada = Analyse de politiques, Band 41, Heft Suppl. 2, S. 53-61
ISSN: 0317-0861
In: The Canadian journal of economics: the journal of the Canadian Economics Association = Revue canadienne d'économique, Band 46, Heft 3, S. 1037-1065
ISSN: 1540-5982
AbstractUsing the National Graduates Survey, we examine the trends in the gender wage gap among recent post‐secondary graduates in Canada between 1988 and 2007. Female graduates earn on average 6–14% less than males during the period two to five years after graduation. Decompositions show that observable personal characteristics and job attributes can explain only a small portion of the wage gap. We also find that men earn more than women at every point of the distribution. Interestingly, the wage difference shrank in the lower half of the distribution in recent years, while it increased in the upper half.
In: Canadian Journal of Economics/Revue canadienne d'économique, Band 46, Heft 3, S. 1037-1065
SSRN
In: IZA Discussion Paper No. 7295
SSRN
In: IZA Discussion Paper No. 4513
SSRN
World Affairs Online
In: Relations Industrielles/Industrial Relations, Band 64, Heft 2
SSRN
In: Canadian public policy: Analyse de politiques, Band 36, Heft 1, S. 63-89
ISSN: 1911-9917
We examine the evolution of the returns to human capital in Canada over the period 1980–2005. Our main finding is that returns to education increased substantially for Canadian men, contrary to conclusions reached previously. Most of this rise took place in the early 1980s and since 1995. Returns to education also rose, albeit more modestly, for Canadian women. Another important development is that after years of expansion, the wage gap between younger and older workers stabilized after 1995. Controlling for work experience and using Canadian Census data appear to account for the main differences between our results and earlier findings.